2008/10/27

my name is luka


Samedi 25 octobre, Aéronef, Lille, France.
Concert acoustique de Suzanne VEGA, accompagnée du guitariste Gerry Leonard.

Pas grand monde à l'extérieur, lorsque gruut et moi sommes arrivés en haut de marche en tôle percées. Mais de tous les ages.

Ce fut un concert assis. et du coup plutôt bien placés. La salle à fini par être bien remplie tout de même.

Et voilà que les deux artistes arrive sur scène Mme VEGA nous parlant directement en français, pas tout à fait maitrisé, mais compréhensible.

Et là elle commence avec 'Marlene on the wall', un ancien morceau, et claque pour nous, sa voie est la même qu'aux premiers albums. Tout aussi douce qu'à ses début.

Ils nous enchainent anciennes et nouvelles compositions à merveille. Avec de temps en temps des explpications de certains de ses textes. En bon franglais par moment.

Bonheur utlime pour moi qui voulais vraiment entendre 'The queen and the soldier' qui resteras, pour moi son meilleur morceau, le plus représentatif de son talent, enfin celà n'engage que moi.

Nous avons eu le droit aux classiques 'Luka' et 'Tom's dinner'. Pour ce dernier nous avons même participé puisque c'était une version acapella. Donc Gerry Leonard nous a conviés à faire les cœurs et la rythmique avec nos mains.

Après une bonne heure et demi, le concert fut fini, après trois rappel tout de même. La dame est généreuse avec son publique puisque nous avons eu le droit à une petite séance de dédicace et d'échange de quelques mots avec la song writeuse.

Donc nous avons été conquis, mabelle et moi par cette soirée.
Nous sommes rentrés chez nous avec ces magnifiques mélodies plein la tête.

2008/10/19

premiers extraits du carl zeiss




tout neuf... et tout vieux en même temps.


Voici donc ma "nouvelle" optique.
Entre guillemets car il s'agit d'un ancien objectif avec une bague d'adaptation et fonctionne entièrement en manuel. Et là j'apprécie d'avoir une stabilisation sur le boitier.

2008/10/14

ARAKI


Non je ne parle pas de Akira, je ne suis -apparemment- pas dyslexique.

Le ARAKI dont je veux parler n’est pas Greg, le cinéaste. Même si j’aime beaucoup son œuvre, je veux plutôt parler de Nobuyoshi, le photographe.

J’ai, dernièrement, fais l’acquisition d’un livre qui s’intitule « Araki enfin – L’homme qui ne vécut que pour aimer » écrit par Philippe FOREST.

Il nous raconte donc ce personnage, ce photographe, fort controversé pour son œuvre pas toujours « politiquement correcte ».
Voici le petit texte qui nous est délivré en deuxième de couv :
« Né en 1940 à Tokyo, Araki Nobuyoshi est désormais universellement reconnu comme l'un des tout premiers artistes du Japon contemporain, comme l'un des principaux photographes d'aujourd'hui.
Le secret du succès planétaire d'Araki n'est pas bien difficile à trouver. Il tient à la formule à laquelle on réduit le plus souvent son œuvre en ne retenant d'elle que sa capacité à manufacturer de séduisantes images qui satisfont le désir un peu stéréotypé de l'Occident attendant d'un artiste japonais un certain mélange attendu d'érotisme et d'exotisme, de modernité et de tradition. Mais, lorsqu'il atteint de telles proportions, le succès n'est-il pas toujours au prix du contresens, du malentendu ?
Araki a fait lui-même de sa vie une légende. Selon la formule singulière du « watakushi-shôsetsu » (le « roman du Je » japonais), son œuvre de développe à la façon d'un formidable récit personnel où la prolifération des photographies prises, tout en réfléchissant le monde dans le contexte des fantastiques mutations connues par le Japon contemporain, se rapporte à l'insistante confrontation d'un individu avec une expérience de la perte et de la possession amoureuses dont l'image, incessamment déclinée, du nu féminin devient l'emblème. Une fiction s'inscrit ainsi chez l'artiste japonais. Afin d'interroger la vérité qu'elle contient, « Araki enfin » se donne comme la fiction de cette fiction. »

Il n’est pas toujours simple pour moi d’expliquer que j’aime ses photos qui traites du quotidien, les ruelles, les cours (avec des jouets qui traînent), les appartements étriquer avec son chat qui traîne ici et là, les portraits.
Quand une bonne partie de son œuvre ressemble plus à des femmes nues, encordées,liguotées (je ne sais pas comment traduire le terme : ‘bondage’), le tout sans ou avec trop peu d’explications qui plus est.

Car même si ce n’est pas la partie que je préfère, j’apprécie de découvrir le sens de ces clichés, le pourquoi.

Il y a aussi une dernière partie de son œuvre qui est forte intéressante et qui mérite et explique le sous-titre de ce livre. « L’homme qui ne vécut que pour aimer ».
Déjà non il n’est pas mort.
Il a livré au publique quelque chose de terriblement intime, qui est également une preuve d’amour incroyable (à mes yeux en tout cas).
Sachant que la durée de vie de sa femme était limité il s’était décider à lui dédier un livre de photos d’elle pour témoigner de sa vie à elle.
Ce qui peut choquer dans cette série de clichés c’est qu’il l’a photographié jusqu’à sa mort. Jusque même le moment où elle était dans son cercueil.
Certes ça peut paraître glauque mais il l’a fait pour elle. Parce qu’il l’aimeras à jamais.

2008/10/10

la malterie : concerts

Changement de programme, je vous parlerais de araki (mais lequel des deux de qui donc je vais parler ???).

Samedi soir concert à la malterie. Pourquoi ?

Parceque en faisant des recherches sur un groupe que j'ai découvert depuis 1999 UI (en même temps que tool) sur simple fait de pochette (eh oui les cd n'ont pas toujours été en écoute libre à la fnac), j'avais été sur le cul, autant par la richesse métal de tool, que par le combo bass batterie de UI.
ça parle à nos tripes les basses m'ont traversé et fait vibré. C'est un plaisir musicale bien particulier.

Bref donc en recherchant de leur nouvelles, je suis tombé sur le site de leur label, souther records, et là j'ai été voir les date de concert et j'ai vu qu'ils passaient à la malterie à lille !!!
Juste une petite erreur de ma part puisque deux minutes plutard (je suis long à la détente certe) je me suis rendu compte que ce ne serais pas UI qui viendrait dans cette salle, mais DIANOGAH. Groupe totalement inconue à mes oreilles à ce moment.

Du coup je vais faire un saut sur le site de la salle de concert et découvre que Dianogah fonctionne sur la même base que UI, deux basses et une baterie.

Donc j'en parle à mabelle pour voir si cette soirée l'intéresserais. Et là un bon oui parvient à mes oreilles.

Le samedi arrive, et après avoir aidé un ami, on file et on rentre manger un morceau avant d'aller profiter de cette salle qui trone à à peine 100 mètres de chez nous.

Nous rentrons, prenons nos billets, et nous installons, dans un premiers temps au bar en attendant le début de la première partie.

Les musiciens s'intallent, " Bonsoir nous sommes KOFEEE et c'est notre première date à l'étranger même si nous ne sommes pas bien loin. " et oui ils sont de Tournai.
Et là première claque, une voie entre robert smith et franck black, des guitares bien aiguisées, un claviériste bien concentré, le batteur met une rythmique d'enfer avec le bassiste qui saute dans tout les sens, complètement psyché !
Du bon rock sans prétentions ni concéssions.

C'était déjà térrible.

Entre-acte...

après être retourné au bar nous hydraté un coup, nous nous dirgeons vers la moquette devant la "scène" et nous asseyons en attendans la mise en place du groupe de Chicago.
Ils arrivent s'asseyent eux aussi...là on se dit qu'ils terminent leur réglages... mais non ils commencent sitôt à jouer et déferlante de basses, EXCITANT !!
premier morceau fini (pas loin des 10 minutes quand même) et ils se présentent en français s'il vous plait, et continuent les vrombissements de leur instruments.
Avec quelques blagues, en vo ce coup si, entre les morceaux, le concert se termine après un petit rapel tout de même, et nous annonce qu'ils sont contents d'être passé chez nous pour leur dernière date de leur tournée européenne. Et nous donc !!!

En nous dirigeant vers la sortie, petit échange de mots avec le second bassiste, compliment sur leur musique qui m'a terriblement touché et plu, et explication de comment j'ai découvert qu'ils passeraient par ici, et leur demande donc des nouvelles de UI. Il me dis qu'il les connais bien qu'il est amis avec eux, mais que malheureusement ils ne seront plus écoutables en live car "the broke up" et moi tout triste, sniffff...

Donc Bilan : 2 éxcélents groupes découvert, dont un qui repassent bientôt dans une autre petite salle de la ville (KOFEEE au détour au mois de novembre) et une folle envie de profiter de cette salle qui nous tend les bras tout les jours.


Petite aparté, la malterie est une salle de concert, d'expos d'artistes de tout genres et surtout c'est un lieux de travail pour tout pleins d'artistes (bd, peinture, musique, etc.) un batiment parfaitement recovertit donc et un haut lieu culturel lillois.