paprika

Il y a un film d'animation dont (quasi) personne n'a parlé depuis sa sortie. Forcément, face au gros film d'animation américain (quasi) sans scénario, il est pas évident de parlé d'un film d'animation japonnais qui ne s'adresse pas qu'aux gamins conditionnés par ce chère Walt.
C'est la quatrième film de kon satoshi après
- perfect blue (un polar psychotique),
- milenium actress (un voyage à travers l'histoire et la mémoire d'une actrice),
- tokyo godfathers (véritable conte de noël, où les rois mages se retrouve dans la peau de trois sdf, a travers une narration excéptionnelle),
- notons qu'entre deux films une série 'paranoia agent' d'une réalisation digne de ses films tout comme l'histoire, complexe, prenante, vivante, et bien d'autres qualificatifs qui ne viennent pas à cet instant.

Donc 'paprika' nous parle de nos rêves et nous invite à y rentrer alors que nous sommes belle et bien éveillé. Et ce en différent termes.
Ce film ne s'arrête pas une seul seconde. Nous sommes ballotté sans cesse afin d'arriver au dénouement.

Voilà j'espère que je vous aurais donné envie de voir ce film ou même ses précédents.